Pour le gouvernement il faut supprimer des postes
Pour FO il faut répondre aux revendications des personnels !
Rien dans les dernières annonces du ministre Attal sur les postes ! Après la mise en place de l’inclusion scolaire systématique et forcée, la casse de l’école publique se poursuit :
- Attaque de la liberté pédagogique et donc du statut des enseignants : en imposant une méthode qui serait miraculeuse (rappelons que ces dernières années, la pression est telle dans le système scolaire de Singapour que le taux de suicide des personnes entre 10 et 29 ans a augmenté de 26% !)
- Le ministre propose une école du tri pour les élèves en difficulté et qui va contribuer à renforcer les inégalités
- Abandon et stigmatisation des élèves les plus fragiles en utilisant l’intelligence artificielle et en les plaçant devant des machines, en les condamnant à des dispositifs ostracisants (classe prépa-lycée, stage de réussite conditionnant le passage à la classe supérieure…)
Rien sur l’amélioration des conditions de travail des personnels, rien sur l’arrêt des suppressions de poste, rien sur l’augmentation des salaires : c’est ça la communication du ministre Attal, acteur zélé du gouvernement. Il faut les arrêter et la première étape, c’est la grève et la montée à Paris le 25 janvier !
A l’image du dépeçage de la santé publique et des suppressions de lits et de postes dans les hôpitaux, c’est au tour de l’école d’être dans le viseur du gouvernement, jugez plutôt :
A l’échelle du pays, c’est :
- 16 milliards d’économies sur le dos des services publics à faire en 2024
- Suppression de 2500 postes d’enseignants pour la rentrée 2024 (qui viendront s’ajouter aux 2000 suppressions de septembre dernier et aux 7 900 postes supprimés dans le second degré depuis le premier quinquennat Macron)
Tout est à craindre pour notre département !
Rien dans les dernières annonces du ministre Attal sur les postes ! Après la mise en place de l’inclusion scolaire systématique et forcée, la casse de l’école publique se poursuit :
- Attaque de la liberté pédagogique et donc du statut des enseignants : en imposant une méthode qui serait miraculeuse (rappelons que ces dernières années, la pression est telle dans le système scolaire de Singapour que le taux de suicide des personnes entre 10 et 29 ans a augmenté de 26% !)
- Le ministre propose une école du tri pour les élèves en difficulté et qui va contribuer à renforcer les inégalités
- Abandon et stigmatisation des élèves les plus fragiles en utilisant l’intelligence artificielle et en les plaçant devant des machines, en les condamnant à des dispositifs ostracisants (classe prépa-lycée, stage de réussite conditionnant le passage à la classe supérieure…)
Rien sur l’amélioration des conditions de travail des personnels, rien sur l’arrêt des suppressions de poste, rien sur l’augmentation des salaires : c’est ça la communication du ministre Attal, acteur zélé du gouvernement. Il faut les arrêter et la première étape, c’est la grève et la montée à Paris le 25 janvier !
A l’image du dépeçage de la santé publique et des suppressions de lits et de postes dans les hôpitaux, c’est au tour de l’école d’être dans le viseur du gouvernement, jugez plutôt :
A l’échelle du pays, c’est :
- 15 milliards d’économies sur le dos des services publics à faire en 2024
- Suppression de 2500 postes d’enseignants pour la rentrée 2024 (qui viendront s’ajouter aux 2000 suppressions de septembre dernier et aux 7 900 postes supprimés dans le second degré depuis le premier quinquennat Macron)
Dégradation de la scolarisation des 2 ans, école maternelle considérée comme une véritable variable d’ajustement, fermeture de postes dans le spécialisé, regroupement à tout va contre toute prise en compte des configurations locales, refus d’ouvertures… Le gouvernement et ses représentants locaux avancent à marche forcée dans leur entreprise de liquidation de l’école Publique.
Ainsi, le SNUDI-FO invite dès aujourd’hui les collègues à faire remonter leur prévision d’effectifs, l’état des besoins (ouvertures de classe, postes de TR, postes de RASED) et le cahier de revendications liés aux difficultés rencontrées pour préparer la mobilisation pour empêcher les éventuelles fermetures et obtenir les ouvertures nécessaires.