Après la grève massive du 22 mars,
la question de la suite est posée
La grève du 22 mars a été plus puissante que celle du 10 octobre, preuve du refus des fonctionnaires de laisser détruire la Fonction Publique et leurs statuts.
Comme l’ensemble des agents de la fonction publique, les personnels de l’Education Nationale refusent les suppressions de postes, la dégradation de leur condition de travail, l’individualisation des carrières et le salaire au mérite, synonyme de destruction de l’école publique républicaine et des droits collectifs.
Dans le même temps, le gouvernement MACRON reste droit dans ses bottes et indique vouloir aller jusqu’au bout des réformes: c’est à dire en finir avec les droits et garanties collectives.
Face à ce gouvernement “jusqu’au boutiste”, les salariés s’interrogent légitimement sur les moyens d’actions efficaces pour gagner sur les revendications.
Or le 3 avril, les cheminots sont appelés à débuter la grève pour défendre leur statut, (rejoint par les salariés d’Air France, les éboueurs, les étudiants, …). Ils discuteront en Assemblée Générale des modalités de la reconduction.
Pour les organisations FNEC-FP-FO, CGT éduc’action, FSU et SUD éducation de Haute-Loire, cette question ne concerne pas que les cheminots. C’est pourquoi elles vous proposent de participer, ce jour là, à des réunions de secteur pour discuter des suites à donner à ce mouvement pour gagner sur les revendications.
* prenez connaissance de l’appel intersyndical départemental ici:appel réunion de secteurs 3 avril 2018 (1)
Venez nombreux aux réunions de secteur
Le Mardi 3 avril à 17h
au Puy en Velay – Centre Pierre Cardinal – salle de conférence
à Monistrol sur Loire – au château
à Brioude – place du Postel – immeuble de l’instruction – salle Allier
NON LES PERSONNELS NE SE LAISSERONT PAS FAIRE!
discutons, organisons, mobilisons!
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